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Visite guidée de Paris : L'histoire de la presse parisienne
Une visite guidée de Paris dans l’histoire dés la fin du 19e et le début du 20e siècle, témoins du premier âge d’or de la Presse parisienne. Cette promenade à Paris, surprend par son histoire à l’époque où se révélait l’âge d’or de la presse parisienne.
La fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle sont les témoins privilégiés du premier âge d’or de la Presse parisienne. Alors, les journalistes, éditeurs, imprimeurs et caricaturistes se rassemblent dans un quartier bien particulier des Grands Boulevards. On le surnomma parfois la République du Croissant.
Sous le Second Empire, la presse gagne d'autres couches sociales que les élites. La liberté d'informer naît avec la (loi de 1881).
Sous l’impulsion du baron Haussmann, et toujours dans le but d’embellir Paris les premiers kiosques à journaux voient le jour, le 15 août 1857. L’architecte français Gabriel Davioud, également à l’origine du théâtre du Châtelet et de la fontaine Saint-Michel a imaginé ces élégants pavillons, dont il ne reste rien !
À l’époque, ils étaient réservés aux veuves de militaires et de fonctionnaires. Ainsi ce travail leur permettait de percevoir un modeste revenu.
Et c’est sur les Grands Boulevards que le premier kiosque a été aménagé. Petite révolution, les nouveaux kiosques sont dotés d’un système lumineux. Ils éclairaient la voie publique la nuit.
Cette balade historique à Paris retrace les heures de gloire et l'histoire de la presse parisienne.
Pendant une quarantaine d’années après la loi Bichet, ni les hauts salaires des ouvriers (mais aussi des cadres !), ni les multiples grèves n’ont empêché les NMPP-Presstalis de prospérer.
Le tribunal de commerce de Paris vient de prononcer la liquidation de la société SAD, prestataire de Presstalis. Mais aussi le licenciement forcé, des 512 travailleurs qui acheminaient la presse toutes les nuits.
Ainsi libérés, les grands groupes de presse cessent de participer à l’outil commun de distribution mis en place en 1947, avec pour argument mensonger le coût exorbitant de la distribution de la presse.